L'OURCE description

*** Les Amis de l'Ource vous saluent ! *** Parcourez nos articles & nos pages. Bonne découverte ! ***

mardi 30 avril 2019

Les Amis de l'Ource : Père ALLARD - Légende d'après une carte postale Brunclair - histoire à épisodes !


Maudissant la société qui l’avait fait injustement condamné, parait-il, le Père Allard vit en solitaire comme un troglodyte dans la montagne, sur la côte d’Essoyes et Noé-les-Mallets, se cachant à l’approche d’un visiteur inconnu.
Légende d'après une carte postale Brunclair

Le Père Allard utilisait les principes et méthodes appliquées à la construction des cadoles.

lundi 29 avril 2019

Les Amis de l'Ource : Père ALLARD, Le gourbi de l'Ermite - histoire à épisodes !

La Bourguignonne à Essoyes, distribuait les produits de La Ruche Troyenne


Les Amis de l'Ource : Père ALLARD, Plan de localisation - histoire à épisodes !

Colette et Denyse sont allées sur place samedi.
Elles ont pris des photos que nous montrerons dans le prochain épisode ! 

mercredi 24 avril 2019

Les Amis de l'Ource : Mais qui était donc le Père ALLARD - histoire à épisodes !


Recherche et rédaction par Colette Sifferlen :

Casimir Léon ALLARD [1], célibataire, est né à Etais-la-Sauvin (Yonne) le 21 août 1849 et décédé à Bar-sur-Seine (Aube) le 16 mars 1916. Il vivait en solitaire au lieu-dit « Basse Maison » entre Essoyes (Aube) et Noé-les-Mallets (Aube). Il reste peu de trace de cet ermitage, mais on aperçoit encore des pierres empilées. (photos à suivre)
Les habitants d’Essoyes l’appelaient l’ermite, il vivait sur un lopin de terre que lui avait concédé vers 1906, Monsieur Jules Clair, cultivateur, demeurant au hameau du Grand Mallet
Les murs de son domaine étaient faits de pierres trouvées, ici et là, dans les friches et rassemblées par lui avec une régularité surprenante. En plus de la hutte qui lui servait d’habitation, l’ermite s’était créé une étable avec chèvres, un potager avec arbres fruitiers, une remise, une citerne, une vigne.
Les curieux que ce domaine attirait, pouvaient y entrer pour visiter les lieux mais ils ne rencontraient jamais le reclus. Il apparaissait rarement dans les rues d’Essoyes où d’ailleurs, il ne cherchait pas à lier conversation. Les raisons de ce singulier comportement s’expliquaient ainsi : injustement condamné, l’ermite connut le bagne pendant douze ans. Lorsque son innocence fut enfin établie, il était trop tard, l’irréparable avait été commis, entre la société et lui tout contact se trouvait définitivement rompu. (D’après Raymond Joblet).



[1] Pour un répertoire plus complet des ALLARD, on peut consulter sur Internet, le pdf de monsieur Daniel Cagnat.

Le VAL d'OURCE